HISTOIRE DE LA CARTOGRAPHIE
EVOLUTION DE LA PRECISION EN CARTOGRAPHIE
LE MONDE ET LA FRANCE
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- Fonds de carte prêts pour l'impression, matériel pédagogique
pour une séance de TP sur l'évolution de la précision
de localisation
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CARTES DU MONDE
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- Projection "ovale", méthode graphique non programmée,
je l'ai remplacée par la Winkel II qui lui est la plus proche.
La bonne qualité relative des latitudes contraste avec les
erreurs considérables de longitude, l'Inde est figurée
comme une île..
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- Mercator, 1569 la carte fondatrice de la projection du même
nom
- Image moyenne
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- Mercator explique longuement sa méthode
de projection sur cette carte en larges cartouches qui oblitèrent
en partie les continents.
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- Ortelius 1570, projection "ovale" tirée de la "Cosmographia"
d'Apianus (1524)
- Image moyenne
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- Projection "ovale", méthode graphique non programmée,
je l'ai remplacée par la Winkel II qui lui est la plus proche.
L'Inde a trouvé sa place, les erreurs en longitude sont plus
graves aux extrêmes Ouest et Est, le continent austral est fantaisiste.
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- Projection
de Mercator. Beaucoup de détails, mais très fortes
erreurs en longitude de nombreuses portions de continent fantaisistes.
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- Projection
polaire équidistante. Le calcul des longitudes a été
mené avec une méthode astronomique : l'observation des
éclipses des satellites de Jupiter. La démarche est
scientifique : les terres inconnues (Australie de l'E par exemple)
ne sont pas tracées.
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- Projection
polaire stéréographique. Poursuite de l'effort de
localisation précise par mesures astronomiques. La prudence
est aussi très grande, les territoires inconnus ne sont pas
tracés.
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- Projection
stéréographique, partie Est. D'Anville dipose d'un
important réseau d'informateurs (relations de voyages, Jésuites
en Chine dont les repérages de qualité ont été
menés avec la méthode astronomique des satellites de
Jupiter...). Son attitude est rigoureuse : l'E australien qui demeure
inconnu n'est pas tracé.
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Thierry Hatt, Lycée Fustel de Coulanges, février
2001
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